Si le DAM est bel et bien un outil de gestion des ressources numériques, il n’est pas uniquement destiné à la communication et voit aujourd’hui ses usages se développer dans bien d’autres secteurs d’activité.
Lesquels ? On découvre ça tout de suite !
Bien évidemment, les services de communication et de marketing sont les premiers utilisateurs du DAM et aussi ses premiers prescripteurs. Le DAM leur permet, en effet, de structurer l’information, et de fluidifier sa diffusion et son partage sur tous les canaux de communication (le print, le digital, les réseaux sociaux, etc.).
Les équipes com et marketing apprécient tout particulièrement les outils créatifs intégrés au DAM, comme la possibilité de redimensionner les images directement dans la plateforme.
Les marques de luxe et les spécialistes du tourisme sont les premiers à diffuser des photos et des vidéos, aussi bien à destination de leurs distributeurs pour les supports de vente, que pour leurs succursales à l’étranger pour des besoins de communication, ou pour les médias. Tous viennent donc piocher dans la plateforme de DAM les éléments permettant d’alimenter leurs sites, leurs newsletters, leurs magazines, leurs catalogues, leurs réseaux sociaux, etc.
Grâce au DAM, les marques peuvent également envoyer aux utilisateurs des alertes leur indiquant de ne plus utiliser certains médias déjà téléchargés par exemple, de gérer finement les droits en fonction des pays dans lesquels les médias sont diffusés et d’assurer une communication de marque cohérente.
Certains industriels utilisent le DAM pour le contrôle et la validation de leurs packaging. La gestion des flux de validation entre le marketing et les différents services (qualité, usine, R&D, chaîne graphique et filiales) est pour certains un vrai casse-tête. Chacun doit, en effet, valider sa partie sur les documents de création, d’exécution ou de photogravure.
La diversité des emballages oblige souvent l’industriel à imprimer dans différents procédés (tels que l’héliogravure, la flexographie, l’offset ou encore le numérique), ce qui implique beaucoup de partenaires différents. Et plutôt que de valider les packagings depuis les plateformes tierces de leurs partenaires ou par mail, certains ont choisi de tout centraliser dans le DAM.
Pour alimenter les canaux de commercialisation des produits (site e-commerce, market place, etc.), c’est bien le PIM qui pousse les données produit vers la plateforme et le DAM qui alimente le PIM avec des visuels et des médias à jour. Le DAM n’est alors qu’une sous-couche invisible qui permet d’alimenter le PIM avec les visuels des produits. Mais le DAM peut aussi créer son propre canal d’export pour alimenter directement en médias le site de vente en ligne.
On revient ici à la vocation première du DAM qui est de gérer le patrimoine numérique des organisations. Qu’il s’agisse d’un constructeur aéronautique qui souhaite améliorer le stockage et la gestion des photos ou d’un groupe d’audiovisuel qui veut pouvoir disposer d’une plateforme centralisée, et accessible aux partenaires extérieurs (presse, photographe, production, etc.) pour stocker tous les visuels et extraits des programmes et émissions qu’il diffuse, le DAM est la solution.
Et si c’était à vous de vous lancer à nos côtés pour mettre en place un logiciel de DAM ? 😉